Lampemètre

Le lampemètre ci-après a été réalisé à partir d’un kit d’Alain Ducrocq (site radioelec.com). Les mesures sont effectuées en mode impulsionnel ce qui est sans aucun danger pour les tubes testées. La tension maximum d’anode peut être réglée à 450 volts maximum. Le kit est complété par une alimentation HT variable afin d’effectuer des mesures en mode tétrode ou penthode. Le chauffage des filaments est réalisé à partir d’un kit d’alimentation de 0 à 30 volts, commutable en série avec une alimentation fixe de 30v. Ainsi, la tension de chauffage est réglable de 0 à 30 volts ou de 30 à 60 volts. Des préréglages de tensions et intensités permettent de sélectionner les valeurs courantes utilisées pour le chauffage des lampes. Le choix d’un matrice avec fiches bananes plutôt que de multiples commutateurs, simplifie le montage. L’ensemble est intégré dans une valisette en aluminium.

 

J'ai retenu l'option d'un châssis en bois.

Premier essai de disposition des éléments.

Les supports de tubes retenus pour le lampemètre.

Positionnement des éléments sur leur support.

Les connections aux grilles 1 (souvent les mêmes broches pour différents tubes) doivent être câblés avec une perle ferrite à leur base afin d'éviter des oscillations parasites.

Les faces sont imprimées sur deux feuilles de papier photo A4 et plastifiées.

Les supports de tubes sont recouverts par une plaque qui supportera les modules d'alimentation. En cas de besoin, il n'y a que 4 vis à retirer pour accéder au câblage des supports de tubes.

Câblage des modules d'alimentation en cours et premiers essais de ceux-ci.

J'ai utilisé deux transfos car je n'avais pas de modèle unique capable de délivrer les tensions nécessaires. Un seul transfo aurait peut-être été trop grand pour rentrer dans le boitier.

Câblage presque terminé.

Et voilà !

Le châssis est posé au fond du boitier et uniquement maintenu par des cales en mousse.

Visibles dans le couvercle, quatre cales en mousse assure le maintien de l'appareil quand la valise est fermée. Un compartiment à droite accueille les câbles. Des baguettes en "U" permettent le rangement de documents dans le couvercle.

En test, une UL41. Sur les tableaux j'ai répertorié les tubes les plus courants et indiqué le branchement de la matrice, et les tensions à appliquer pour la mesure.

En haut la lecture en mA de l'intensité anodique. en dessous à gauche la tension anodique; à droite la tension de la grille 1. En dessous la tension de l'éventuelle grille 2. Au final, le test des trétodes ou penthodes en pseudo triode est suffisant pour la majorité des cas.